ETHIR ANDUIN
Loneliness Of My Life
CD
co prod
Symbol Of Domination / More Hate Productions
2018
Loneliness Of My Life
CD
co prod
Symbol Of Domination / More Hate Productions
2018
ETHIR ANDUIN, du nom du delta par lequel se jette dans l'océan le long fleuve Anduin,
en Terre du Milieu et dans la géographie mythique de JRR Tolkien, est un projet de Metal sombre formé en 2006.
Originaire de Tikhvine, ville russe de l'oblast de Leningrad, située à 180km à l'est de Saint-Petersbourg, le one-man band - devenu récemment un duo - n'en est pas à son premier coup d'essai, puisque son CV discographique comprenait déjà un premier album CD-R, un second album numérique, un troisième album CD physique et un split album numérique (avec Путь [Path]), sortis de 2011 à 2016. Ce n'est toutefois qu'avec ce Loneliness Of My Life, deuxième disque physique et professionnellement manufacturé, qu'il émerge véritablement en commençant à se faire connaître au-delà des frontières de la Russie.
A l'anecdotique exception d'un bref passage (samplé ?) de spoken words en russe vers la fin de la piste d'ouverture Lethargy, ce qui singularise le plus cet album, c'est qu'il se constitue de huit plages entièrement instrumentales d'un Black/Doom (ou Doom "blackisé") atmosphérique et d'excellente facture, où la puissance du son, les ambiances épiques et le côté grandiose le disputent à une technicité bien carrée, marque de fabrique certaine d'un musicien talentueux.
Originaire de Tikhvine, ville russe de l'oblast de Leningrad, située à 180km à l'est de Saint-Petersbourg, le one-man band - devenu récemment un duo - n'en est pas à son premier coup d'essai, puisque son CV discographique comprenait déjà un premier album CD-R, un second album numérique, un troisième album CD physique et un split album numérique (avec Путь [Path]), sortis de 2011 à 2016. Ce n'est toutefois qu'avec ce Loneliness Of My Life, deuxième disque physique et professionnellement manufacturé, qu'il émerge véritablement en commençant à se faire connaître au-delà des frontières de la Russie.
A l'anecdotique exception d'un bref passage (samplé ?) de spoken words en russe vers la fin de la piste d'ouverture Lethargy, ce qui singularise le plus cet album, c'est qu'il se constitue de huit plages entièrement instrumentales d'un Black/Doom (ou Doom "blackisé") atmosphérique et d'excellente facture, où la puissance du son, les ambiances épiques et le côté grandiose le disputent à une technicité bien carrée, marque de fabrique certaine d'un musicien talentueux.